lundi 28 février 2011

« Je n’attendais pas la lune, aucune fortune sentimentale. Rien, le cœur rempli d’amertume, je versais du whisky dans mon chagrin. En vain. Je déambule dans la musique, entre les notes et les bulles magiques. Il me donne un sourire et je ne sais que le retenir, malicieusement il me fait gouter un peu au pays des merveilles. Il sourit encore et je glisse encore dans son décor éphémère. Je le laisse faire, je n’ai pas fait de calculs, pas prévu de plan infaillible, aucune stratégie ridicule pour que la soirée vacille. »

Faudrait que j'arrête d'être effrayer par le bonheur, faudrait que je comprennes que ça existe pas, ce bonheur la, celui qu'on voudrait avoir toute notre vie. Faudrait que j'arrête de fuir ce que j'aime par peur de souffrir. Je voudrais juste qu'on m'aide à me trouver, qu'on me prenne la main, qu'on m'emmène loin, qu'on me fasse rêver sans trop me brusquer, qu'on me tende la main vers quelque chose de bien.

J'ai peur de glisser trop vite entre tes doigts, j'ai peur que tu n'arrives plus à penser à moi. Moi, je te penses un peu trop. Je tremble de bonheur, je tremble de peur. Peur de t'entendre dire : Voila mon Ange, c'est la fin. Je ne peux rien t'offrir de plus que moi, moi toute entière. Alors, on fait ça ?

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