lundi 28 février 2011

« Je n’attendais pas la lune, aucune fortune sentimentale. Rien, le cœur rempli d’amertume, je versais du whisky dans mon chagrin. En vain. Je déambule dans la musique, entre les notes et les bulles magiques. Il me donne un sourire et je ne sais que le retenir, malicieusement il me fait gouter un peu au pays des merveilles. Il sourit encore et je glisse encore dans son décor éphémère. Je le laisse faire, je n’ai pas fait de calculs, pas prévu de plan infaillible, aucune stratégie ridicule pour que la soirée vacille. »

Faudrait que j'arrête d'être effrayer par le bonheur, faudrait que je comprennes que ça existe pas, ce bonheur la, celui qu'on voudrait avoir toute notre vie. Faudrait que j'arrête de fuir ce que j'aime par peur de souffrir. Je voudrais juste qu'on m'aide à me trouver, qu'on me prenne la main, qu'on m'emmène loin, qu'on me fasse rêver sans trop me brusquer, qu'on me tende la main vers quelque chose de bien.

J'ai peur de glisser trop vite entre tes doigts, j'ai peur que tu n'arrives plus à penser à moi. Moi, je te penses un peu trop. Je tremble de bonheur, je tremble de peur. Peur de t'entendre dire : Voila mon Ange, c'est la fin. Je ne peux rien t'offrir de plus que moi, moi toute entière. Alors, on fait ça ?

dimanche 27 février 2011

Flying in a blue dream.


J'ai envie de soleil caressant ma peau, de vent chaud effleurant mon visage, j'ai envie
d'enfoncer mes orteils dans le sable brulant. J'ai envie de rire aux éclats, j'ai envie de
photographie, d'écouter de la musique à m'en rendre sourde. J'ai envie de m'allonger
dans de hautes herbes et regarder les dessins qui se forment dans le ciel, j'ai envie
d'écouter les oiseaux, d'écouter le silence, de prendre un bon bol d'air.
Laissez moi rêver...



lundi 21 février 2011

Je ne dois rien à personne, j'avancerais toujours.


Tu crois que ça te soulages hein, tu crois que c'est plus facile comme ça. T'arrives à masquer tes sentiments simplement parce que tu deviens je m'en foutiste de tout. Regardes toi ma grande, t'as le cerveau fané, tu te souviens même plus de ce que t'as fait hier, tu vois ta chance défilée à chaque instant, tu te vois toucher le bonheur pendant une heure ou deux, le temps d'une défonce. Mais c'est comme tout, c'est juste éphémère. A force de te niquer le crane tu vas finir par sauter, tout à une fin et ça tu le sais. T'écris plus, tu joues plus, il serait temps pour toi que tu te remettes sur le droit chemin. C'est sur ça te soulage, t'es essoufflée, t'as trop souffert, tu te renfermes sur toi même, tu fumes fumes et fumes encore parce que t'as juste l'impression d'aller mieux après ça, d'être dans un autre monde un peu moins merdique que celui dans lequel tu vis, mais calme toi, réalises la chance que t'as et vis ce que t'as à vivre, te prives pas de gouter au bonheur, dans tous les cas on souffre et ça tu le sais surement mieux que personne, mais tant qu'a faire prend le risque, tout est éphémère mais rien n'est impossible.